Agir pour le vivant

L’Agriculteur bio, ou celui qu’on veut avoir comme voisin…

L’Agriculteur bio, ou celui qu’on veut avoir comme voisin…

 

par Agence Bio, (groupement d’intérêt public en charge du développement, de la promotion et de la structuration de l’agriculture biologique française)

A nous d’encourager par nos achats ce mode de production qui préserve le vivant.

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Dans un supermarché bio de Paris, le 4 juin. (Riccardo Milani /Hans Lucas. AFP)

Parce que l’agriculture biologique augmente le bien-être collectif, il est impératif de la soutenir chaque jour dans nos habitudes de consommation individuelles. Accompagner et accélérer la transition alimentaire, c’est aussi être solidaire des agriculteurs bio engagés et les rendre fiers de leurs pratiques vertueuses.

Comment l’agriculture biologique profite-t-elle à tous ? En créant de l’emploi ; en augmentant la biodiversité ; en préservant la qualité de l’eau et en économisant ses coûts de traitements ; en maintenant le lien entre les consommateurs et les producteurs car une ferme sur deux en bio vend en direct, soit le double de la moyenne nationale, soulignant que la proximité est de fait dans l’ADN du bio.

La réduction de l’usage des pesticides est une priorité nationale et européenne. Le plan Ecophyto prévoit une réduction de l’usage de ces produits de 50 % d’ici à 2025. Il paraît alors inenvisageable de refuser ce «droit au bio» aux agriculteurs qui veulent se convertir pour produire en se passant de 90 % de l’arsenal chimique. Les bios ne dispersent de pesticides de synthèse ni dans l’eau, ni dans le sol, ni dans l’air puisque ces produits leur sont explicitement interdits par le règlement européen.

Cela nous profite à tous. En fait, l’agriculteur bio, c’est celui que l’on a envie d’avoir comme voisin. Les produits issus de l’agriculture biologique sont choyés et contrôlés : ils ont nécessité d’avoir trois ans de conversion et l’acquisition d’un savoir-faire agronomique pointu. Faire le choix du bio, plus que choisir un mode de production, c’est un projet de société.

En quoi nous, citoyens et citoyennes, sommes des rouages clefs pour la transition alimentaire ? Parce qu’il nous revient d’accueillir ces nouveaux agriculteurs bio dans nos placards, dans notre frigo, dans nos assiettes, à la maison, au restaurant ou à la cantine. A nous d’encourager par nos achats ce mode de production qui préserve le vivant.

La France est première productrice de bio en Europe, et les agriculteurs qui veulent se convertir sont toujours plus nombreux. Soyons à la hauteur de la transition agroécologique mise en œuvre par ces producteurs, en mettant un peu plus de bio chaque jour dans nos assiettes.

 

Cuisinons plus, gaspillons moins, achetons bio, de saison et en circuit court. Soyons tous acteurs de la transition, pour nous et pour la planète, #bioreflexe !

 

 

 

 

 

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